Contexte général
La révolution a mis en exergue le bas niveau des diplômés du supérieur qui explique en partie le «soulèvement » des chômeurs diplômés. L’amélioration du
niveau éducationnel, de ses élèves, qui se dégrade de plus en plus, passe par une reprise en main et une amélioration du rendement du système éducatif pour les classes terminales du Bac. En
attendant la mise en place d’une nouvelle politique performante du système éducationnel tunisien, nous avons décidé en tant que société civile, d’apporter une solution
palliative, opérationnelle dans l’immédiat.
Nous avons constaté que la préoccupation majeure des parents des élèves était et reste de faire appel aux cours particuliers pour garantir, à leurs enfants, de bonnes notes ; leur permettant
ainsi la réussite et plus de chance d’accès aux meilleurs établissements universitaires et sections. Par conséquent une relation de dépendance s’est installée entre les bonnes notes et les cours
particuliers.
Nous avons relevé, aussi, que les enfants issus de milieux défavorisés de la République ont le minimum de chance de réussite et d’accès au supérieur.
Etant dans l’incapacité de profiter des « cours particuliers », trop coûteux, quand ils en existent dans leur village et quartier, ils se trouvent de fait victime de l’inégalité des chances de ces régions pour accéder aux études et réussir. Plus d'informations sur le projet